CABARETE, ENTRE PARADIS ET SPORTS DE GLISSE

Cabarete (République Dominicaine) a été classée en première place dans les Caraïbes pour la pratique du kitsurf et de la planche à voile

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On a toujours de bonnes raisons pour visiter la République dominicaine; il y fait beau toute l’année, la culture y est vivante et contagieuse et il y a toujours assez de rhum pour tout le monde. Cette année, toutefois, on note une toute nouvelle raison de s’y rendre : Cabarete a été récemment élue par The Telegraph comme étant le meilleur endroit des Caraïbes pour pratiquer les sports nautiques. Ceci fait de la République dominicaine une destination idéale pour les voyages actifs et d’aventure.

Cabarete est située sur la côte nord du pays, où les conditions de vent idéales et les eaux protégées par des récifs offrent les meilleures opportunités de vivre une expérience exceptionnelle en kitesurf et en planche à voile. Les assidus de sports aquatiques croient que les mois d’été (mai-août) et février/mars sont les meilleurs pour pratiquer les sports de vent, justement en raison des vents forts et fiables. Même si ailleurs on les découvre à peine, la région connaît depuis longtemps ses atouts en matière de sports de vent et, au fil des ans, a accueilli plusieurs compétitions et championnats mondiaux.

À Cabarete, même ceux qui préfèrent rester à terre trouvent de quoi s’occuper. Ces derniers peuvent choisir entre le canyoning, le vélo de montagne, la spéléologie, la moto hors route et de romantiques promenades à cheval sur la plage. Parmi les autres sports nautiques, on retrouve le stand up paddle board, le wake board, le surf et la plongée sous-marine.

Après avoir passé quelques jours à chevaucher les vagues, les voyageurs peuvent délasser (et dorloter) leurs corps fatigués au luxueux Gansevoort République dominicaine, Playa Imbert. Situé à seulement quelques minutes des activités de Cabarete, le Gansevoort offre à ses hôtes de choisir entre la tranquillité – sur des lits de plage, à la piscine ou au spa – et encore plus d’action, comme une randonnée pédestre vers des chutes inoubliables ou l’exploration de distilleries de rhum. Et si rien ne va plus, la cuisine raffinée et les vastes lits du Gansevoort viendront à bout de tous les maux.

Audrey Saint-Georges

H2AUMÉA

L’info qui coule de source.

Vade retro Monsanto !

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Des manifestations ont eu lieu dans une vingtaine de villes françaises ce week end pour protester contre le géant de la biotechnologie agricole Monsanto.

A Paris, quelques milliers de personnes se sont mobilisées contre les OGM entre la place Denfert-Rochereau et le champ de mars. Accompagnées de collectifs citoyens et d’association tel que « Greenpeace », les altermondialistes « Alternatiba » ou encore le groupe « Stop TAFTA ». Ce rassemblement a pour but de lutter contre les produits considérés comme toxiques de la firme américaine et le traité transatlantique entre les Etats-Unis et l’Union Européenne.

Dites non aux OGM.

Le Round-up, produit phare de l’entreprise, est un herbicide toxique utilisé en France, il pollue notre air, notre eau et notre environnement. Monsanto, qui annonçait dans ses publicités le contraire a été condamné en 1996 pour publicités mensongères car il déclarait : qu’ « utilisé selon le mode d’emploi, Round-up ne présente pas de risque pour l’homme, les animaux et leur environnement ». Ce qui s’est révélé être faux.

Un accord dangereux.

Egalement en rassemblement pour lutter contre le traité TAFTA, un traité entre l’UE et les Etats-Unis. Négocié dans l’opacité la plus totale, cet accord pourrait avoir des impacts considérables dans les domaines de l’agriculture par exemple, car il vise l’affaiblissement des normes alimentaires. La France, ayant une législation plus stricte que les Etats-Unis ou l’Union Européenne, les lois limitant le niveau de pesticides, d’OGM, d’additifs toxiques ou encore de contaminations bactériennes pourraient être considérées comme des « barrières commerciales illégales ».

Romain Philips.